14 novembre 1887 Pauline chérie, je ne puis vraiment pas m'empêcher de te remercier de tout ce que tu fais pour moi. Oh ! prie bien le bon Dieu pour moi ! puisque Monseigneur ne veut pas, c'est le dernier moyen qui me reste de parler au Pape, mais il faut que cela soit possible, il faut que ce soit le Petit Jésus qui prépare tout pour que sa petite balle n'ait plus qu'à rouler où il le veut. Si tu savais comme ce que tu m'as dit dans la lettre de Lorette m'a fait plaisir et m'a consolée ! Oh ! Pauline, continue à me protéger. Je suis si loin de toi... Je ne puis te dire tout ce que je pense ! c'est impossible... Le petit jouet de JésusThérésita.