20-30 octobre (?) 1896 J.M.J.T. Veiller, méchant p.f. ?... Non, mille fois non !... Je ne m'étonne pas des combats de p.f. mais simplement qu'il perde sa petite force en livrant ses armes au premier caporal qui se trouve sur son chemin, et même qu'il le poursuive dans les escaliers de la caserne afin de l'obliger à prendre jusqu'à la dernière pièce de l'armure. Qu'y a-t-il d'étonnant ensuite qu'un fort rayon de soleil (ordinairement supporté avec vaillance) tombant sur le petit soldat désarmé ne le brûle et lui donne la fièvre ?... Pour sa peine son p.f. le condamne à s'enfermer dans la prison de l'amour et à dormir comme un p. bienheureux, mais avant, il faut se servir, ce soir, de l'instrument de pénitence musical !... Sinon, p.f. va avoir du chagrin. (Surtout pas veiller ! demain on se démanchera les bras ensemble !...)