21 Août 1896 J. M. J. T. 1. C'est un triste bouquet de fête,Que ces misérables quatrains...Mais hélas ! au fond de ma tête,Sont restés les Alexandrins !... 2. Il fallait, j'en ai souvenance :«Des Alexandrins pour Francis.»Je devrais garder le silenceDevant un ordre aussi précis....3. Mais connaissant bien l'indulgenceDe Jeanne et du Savant Docteur,Sans Alexandrins, je m'avance,Pour fêter mon Aimable Soeur. (Thérèse de l'Enf. Jésus) Datation: 21 août 1896Destinataire: le couple La NéeleA l'occasion de la fête de Jeanne