Carmel

Alençon

2 janvier 1873 - 14 novembre 1877

Thérèse au berceau

Thérèse au berceau, sous la protection de son ange gardien.

Lavis non signé. Un brouillon commenté est conservé.

Thérèse au berceau

Tableau non signé de 110 x 166 cm

Thérèse au berceau

Aquarelle tardive

Thérèse dans son berceau, entourée de ses soeurs Marie (13 ans), Pauline (11 ans), Léonie (9 ans) et Céline (bientôt 4 ans).

Dessin de Charles Jouvenot.

Baptême de Thérèse

Baptême de Thérèse à Notre-Dame d'Alençon le 4 janvier 1873.

Lavis de Charles Jouvenot. Nous avons un fragment de brouillon pour le personnage de Marie, et un brouillon commenté pour l'ensemble.

Thérèse chez Rose Taillé

Zélie Martin prie saint Joseph pour la guérison de la petite Thérèse, souffrant d'entérite, pendant que la nourrice Rose Taillé tente de l'allaiter.

Dessin de Charles Jouvenot.

La ferme de la "Petite Rose", où Thérèse a vécu du 16 mars 1873 au 2 avril 1874.

Thérèse à Semallé devant la maison de sa nourrice Rose Taillé.

Lavis de Charles Jouvenot.

Thérèse à Semallé.

Thérèse à Alençon

Maison natale de Thérèse à Alençon, rue Saint-Blaise. Zélie Martin y avait installé son atelier de dentelière.

Lavis anonyme (probablement de Charles Jouvenot), jamais publié.

Retour en famille

Lavis non publié.

Thérèse et sa mère

Fusain de Céline, 1902

A paru dans la 5ème édition de l'Histoire d'une Ame. La petite Thérèse y est bien ressemblante. C'est le petit chérubin que nous avons connu. Maman y est bien aussi. Mais elle est un peu jeune, j'avais pris son portrait daguerréotype quand elle avait 25 ans. J'ai essayé de la vieillir sans y réussir parfaite­ment . Ce double portrait a subi plusieurs retou­ches importantes avant le résultat que nous avons aujourd'hui, aussi ne doit-on pas s'en tenir aux premières éditions. Mon jugement favorable porte sur l'oeuvre présente.

Recueil des travaux artistiques de Céline

La petite Thérèse va à la messe

Lavis de Charles Jouvenot.

En février 1875, Thérèse s'échappe de la maison sous une pluie torrentielle pour aller à la messe. Voir la lettre de sa mère du 14 mars 1875.

La petite Thérèse va à la messe

Aquarelle tardive

Le rêve des diablotins

Lavis de Charles Jouvenot.

"Je ne dois pas encore vous parler de ma jeunesse, mais du petit Lutin de quatre ans. Je me souviens d'un rêve que j'ai dû faire vers cet âge et qui s'est profondément gravé dans mon imagination. Une nuit, j'ai rêvé que je sortais pour aller me promener seule au jardin. Arrivée au bas des marches qu'il fallait monter pour y arriver, je m'arrêtai saisie d'effroi. Devant moi, auprès de la tonnelle, se trouvait un baril de chaux et sur ce baril deux affreux petits diablotins dansaient avec une agilité surprenante malgré des fers à repasser qu'ils avaient aux pieds ; tout à coup ils jetèrent sur moi leurs yeux flamboyants, puis au même moment, paraissant bien plus effrayés que moi, ils se précipitèrent au bas du baril et allèrent se cacher dans la lingerie qui se trouvait en face. Les voyant si peu braves je voulus savoir ce qu'ils allaient faire et je m'approchai de la fenêtre. Les pauvres diablotins étaient là, courant sur les tables et ne sachant comment faire pour fuir mon regard ; quelquefois ils s'approchaient de la fenêtre, regardant d'un air inquiet si j'étais encore là et me voyant toujours, ils recommençaient à courir comme des désespérés.  Sans doute ce rêve n'a rien d'extraordinaire, cependant je crois que le Bon Dieu a permis que je m'en rappelle, afin de me prouver qu'une âme en état de grâce n'a rien à craindre des démons qui sont des lâches, capables de fuir devant le regard d'un enfant..."

Ms A folio 10, v°

La famille au jardin à Alençon

Brouillon non signé

Le compte des pratiques avec Céline

Lavis de Charles Jouvenot.

"L'autre jour elle était chez l'épicier avec Céline et Louise, elle parlait de ses pratiques et discutait fort avec Céline; la dame a dit à Louise: "Qu'est-ce qu'elle veut donc dire, quand elle joue dans le jardin on n'entend parler que de pratiques? Mme Gaucherin avance la tête par sa fenêtre pour tâcher de comprendre ce que veut dire ce débat de pratiques..."

Ms A 11 r°

Le compte des pratiques avec Céline

Aquarelle tardive

La veillée à Alençon

Fusain de Pierre-Léon-Adolphe Annould

Thérèse et sa grand-mère

Brouillon non signé

Voir ici le portrait de sa grand-mère, Fanie Boureau épouse Martin.

"Souvent pendant ces longues promenades nous rencontrions des pauvres et c'était toujours la petite Thérèse qui était chargée de leur porter l'aumône, ce dont elle était bien heureuse ; mais souvent aussi Papa trouvant que la route était trop longue pour sa petit reine, la ramenait plus tôt que les autres au logis (à son grand déplaisir). Alors pour la consoler Céline remplissait de pâquerettes son joli petit panier et le lui donnait au retour, mais hélas ! la pauvre bonne-maman trouvait que sa petite-fille en avait trop, aussi en prenait-elle une bonne partie pour la sainte Vierge... Ceci ne plaisait pas à la petite Thérèse mais elle se gardait bien d'en rien dire, ayant pris la bonne habitude de ne se plaindre jamais, même quand on lui enlevait ce qui était à elle, ou bien lorsqu'elle était accusée injustement, elle préférait se taire et ne pas s'excuser, ceci n'était point mérite de sa part, mais vertu naturelle... Quel dommage que cette bonne disposition se soit évanouie !..."

Ms A 11 v°

Mme Martin reçoit les derniers sacrements

Lavis de Charles Jouvenot

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