Ce sont 1802 lettres qui sont échangées entre les proches de Thérèse, jusqu'à sa mort en 1897, et près de 1800 lettres après son entrée dans la Vie. Cette masse de correspondance nous plonge dans la vie de la famille Martin pendant près d’un siècle, entre 1858 et 1941. Des premières années de mariage de Louis et Zélie Martin à la mort de Léonie, on découvre les heurs et malheurs d’une famille ancrée dans son époque:
petites anecdotes familiales mais aussi véritables témoignages sur les événements historiques de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle, sans oublier bien sûr les détails sur l'extraordinaire explosion de ferveur suscitée par la petite Thérèse, ainsi que la genèse de sa Béatification et de sa Canonisation.
Rappelons que la poste de l'époque est une merveille de rapidité, avec deux livraisons par jour, ce qui explique la fréquence des lettres. Au carmel, la technique sera différente : les sœurs insèrent leur lettre sous un crochet placé à la porte de chaque cellule, à droite de la poignée.
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De la part de MARTIN Thérèse, Soeur Thérèse de l'Enfant Jésus
à GUÉRIN Marie, Soeur Marie de l'Eucharistie
à MARTIN Marie, Soeur Marie du Sacré-Coeur
à MARTIN Louis
à GUÉRIN Céline née FOURNET
à MARTIN Céline, Soeur Geneviève de la Sainte Face
à MARTIN Pauline, Mère Agnès de Jésus
à Marie de Gonzague
à GUERIN Jeanne GUÉRIN Marie, Soeur Marie de l'Eucharistie
à MAGDELAINE Louise, Madame Edouard Fournier
De la part de MARTIN Pauline, Mère Agnès de Jésus
