De soeur Marie-Louise de Gonzague Vétillart à Mme Martin. 4 décembre 1876. V. + J. Madame Notre Très honorée Mère me charge de vous dire que l'état de notre bien chère Soeur Marie‑Dosithée ne s'est pas notablement aggravé comme Pauline vous l'écrit. La maladie sans doute semble suivre son cours, cependant votre chère fille s'est exagéré hier l'état de sa tante; nous le lui avons fait comprendre. Si une aggravation bien sensible se faisait sentir, nous vous en préviendrions, chère Madame. En attendant nous prions toujours avec confiance en union avec vous, chère Madame, et toute votre intéressante famille que nous recommandons bien aussi à Notre-Seigneur. Veuillez je vous prie, Madame, dire à votre chère Marie que nous ne l'oublions pas, que nous l'aimons toujours et aussi votre bonne petite Léonie; et croyez, chère Madame, à mon entier et bien affectueux dévouement en N. S. Sr M. Louise de Gonzague Vétillart de la Visit. Ste Marie D. S. B.