De soeur Marie‑Dosithée à Mme Martin. 6 novembre 1876. V. J. Comme te le dit Pauline, mon état est le même ; je puis aller fort longtemps comme cela, je ne croyais pas qu'on fût si dur à tuer, enfin j'ai toujours de la joie et du bonheur, le bon Dieu est bien bon ! Que Pauline est donc charmante ! Qu'elle bonne élève, elle est contente de toutes ses maîtresses, et vit dans une jubilation continuelle ! ! Chère Marie je pense beaucoup à toi et t'aime chèrement; sois pieuse mon enfant, une personne qui fait la communion tous les huit jours doit faire beaucoup de dévotion, le chapelet, la méditation, la lecture pieuse, les fréquentes aspirations. Dites-nous s'il faut écrire tous les huit jours. Je vous embrasse tous, Céline en particulier.