De Marie Martin à ses parents (Marie est alors demi-pensionnaire à la Providence d'Alençon, ainsi que Pauline) Mes bons parents Combien votre petite fille est heureuse de pouvoirs, au commencement de cette nouvelle année, de vous exprimer toute la reconnaissance pour les innombrables bienfaits don vous ne cesser d'entoure mon enfance. Oh oun(oui)cher Père et Mère bien-aimée votre enfant sent profondément tout ce qu'elle vous doit, aussi combien elle vous en remercie et avec quelle ferveur elle prie Dieu de vous laisser bien longtemps encore à son [1 v°] amour filial Votre affectionnée petite fille Marie Martin Le 1er janvier 1868