De Céline à Pauline. Fin février 1877. Ma chère petite Pauline Léonie t'envoie une lettre et moi je veux t'n écrire une aussi, car jaurais peur que tu ne m'aime plus. Je t'avais écrit avant la mort de ma tante mais ma lettre (1v°) était trop gaie je n'ai pas pu te l'envoyer. J'ai bien du chagrin que ma tante soit morte car jaurais été au mans avec elle je l'aime tant. Toi ma chère petite Pauline tu as été bien heureuse d'avoir été si longtemps avec elle. J'aurais bien voulu y être aussi; et pourtant jaurais du chagrin de ne plus être avec maman. Au revoir ma chère petite Pauline, Je t'embrasse de tout mon coeur. ta petite soeur qui t'aime beaucoup Céline.